À la fois familier et indéchiffrable, le chant des oiseaux ne cesse d’inspirer les compositeurs. Bien malin pourtant celui qui saurait noter avec précision ces pépiements qui égaient nos réveils campagnards. Alors chacun s’y essaie en se rattachant à une tradition ou en se fiant à son oreille et s’efforce de reproduire les sons de ces créatures, tantôt purement distrayantes, tantôt mystérieuses voire divines.
Ma non troppo
Guillaume Handel, traverso
Camille Rancière, violon
Manon Frisch, violoncelle et viole de gambe
Clémence Schweyer, clavecin
mis en mouvement par Isabelle Couffin
costumes Myriam Martinez